Voilà une rubrique qui pourra intéresser les futurs touristes en manque de bronzage et de baignade. A 12 km à l'Est, il y a la mer Adriatique. Là sur le littoral, il y a des plages, pas très larges mais qui s'étendent sur des km et des km. De l'autre côté, c'est la mer Ionienne. La côte est plus rocheuse, mais laisse place de temps en temps à de grandes plages de sable (dont une partie occupée par des plages privées). Il y a en a donc pour tous les goûts : de l'aventurier avide de plongée à la belle naïade préférant se faire dorer au soleil sur une plage se sable fin. Toute la côte est ponctuée de tours fortifiées, les villages s'appellent ainsi Torre Lapillo, Torre Chianca, Torre dell'Orso, etc. Mais, ce que je préfère, c'est la réserve naturelle de Porto Selvaggio : une crique de rochers (assez plat pour pouvoir quand même s'allonger). C'est un site protégé, où tout amateur de plongée, équipé d'un masque, peut se faire plaisir à découvrir des poissons, en prenant tout de même garde aux nombreux oursins (et ici on en mange beaucoup, tout comme les poulpes d'ailleurs). Et à environ 80km au Sud les mers Adriatique et Ionienne se rejoignent au cap de Santa Maria di Leuca (le bout du talon de la botte italienne). Il paraît qu'il faut y aller un jour de vent pour voir la vague formée par la rencontre des deux mers. Et comment choisir parmi toutes ces plages ? Et bien les leccesi ont leur technique : ils regardent la météo, et vont sur la plage protégée du vent (une histoire de Mistral...).