robe mariée pepsi Parce que finalement, il faut bien se rendre à l'évidence que l'achat de la robe de mariée fut toute une histoire ! Il est vrai qu'en se mariant à 2000km de chez soi, on ne facilite pas les choses. Mais comme je l'avais dit déjà auparavant, la question "habits" nous semblait la plus facile à gérer étant donné qu'ici aussi, en Italie, ils se marient avec des robes et des costumes... Heureusement la question de la robe est maintenant réglée comme vous l'a dit Juliette. Il ne reste plus que le costume mais ce sera l'occasion d'une autre histoire.

Lisez plutôt ma version de l'histoire de la robe de la mariée. Autant couper court à toute frayeur de la part des puristes : non je n'ai pas vu la robe. Mais cela ne m'a pas empêché de donner mon avis principalement sur comment gérer la chose et éviter tout instant de panique. Tout a commencé par la consultation des magazines de robe de mariée. J'avais beau savoir que je n'aurai aucun mot à dire sur le modèle final, on avait quand même décider que je pouvais dire ce que je n'aimais pas du tout et ce que je préférais dans les robes en général. ça donnait à peu près cela : ça, tu vois, j'aime bien quand c'est comme-ci ou comme-ça ... ouhla par contre ça c'est moche ! Voilà à peu près tout ce que j'ai vu des robes de mariée...

corpse bride Ensuite pour moi, cela s'est résumé à des prix associés à des jugements de valeurs. Les premiers essayages ont été faits en Italie où tout était faisable mais le prix était en conséquence (sans être exagéré au vu de la prestation). Au final il y avait donc 2 modèles qui plaisaient à Juliette, tous les deux entre 1500 et 2000 euros. Evidemment c'était nettement plus que ce qui était prévu. Il aurait peut être fallu demander à ses soeurs si la robe leur plaisait aussi... car amortie sur 3 mariages le prix en devenait plus raisonnable. Trêve de plaisanterie ! Il fallait organiser un plan de secours en France : ce serait à l'occasion des fêtes de Noël. On prendrait 2 jours de vacances en plus pour que Juliette puisse faire le tour des magasins pré-selectionnés par sa maman.

A partir de ce moment là, mon rôle s'est résumé à peser le pour et le contre des deux options en prenant en compte tous les paramètres suivants. Premièrement il faut qu'elle trouve une robe qui lui plaise, un mariage c'est une seule fois dans sa vie. C'est vrai que c'est cher en Italie mais bon, on peut faire aussi un effort. Par contre si elle l'achète en France il faut vraiment que ce soit intéressant financièrement (sans pour autant n'acheter qu'un prix), sinon ça ne vaut pas le coup.

La fin de l'histoire s'est déroulée en France puisque Juliette a trouvé une robe qui lui plaisait pour un prix défiant toute concurrence (italienne ;-) Que demander de plus ? Eh bien, il faut que la robe soit livrée en Italie, que les retouches soient faites à Lecce (selon la vendeuse il n'y aura presque rien à faire) puis la remporter en Auvergne au mois d'août lorsque nous reviendrons pour le mariage. Tout est bien qui commence bien :-)